Une double vie

Ce matin là, Énok marchait dans les rues. Il y avait beaucoup de gens comme d'habitude, mais Énok préférait trainer dans les quartier pauvres, car il y avait grandis et c'était son monde à lui.
Il jouait avait avec les enfants, les portait sur ses épaule faisant l'avion.
La joie et la bonne humeur y étaient au rendez vous.

L'après midi, Énok alla rencontrer sa petite soeur, Inès, qui jouais à la princesse avec ses copines, afin de lui apporter de quoi manger.
Il resta un bon moment avec sa petite soeur qui lui pausa beaucoup de question, comme le font tout les enfants de son âge.

A l'orée de la journée, comme chaque jour, Énok faisait rentrer tous les enfants dans le foyer (une maison ou y vive plusieurs famille). Car cela était sa responsabilité à lui et à quelques garçons, car les rues devenaient dangereuses le soir.

Puis il aperçu sa mère, Simone, qui rentrait de sa journée de travail.
La mère d'Énok, Simone, est femme de ménage dans une famille de la haute société.
Mère au foyer elle fut contrainte d'abandonner très tôt les étutes pour s'occuper d'Énok avant l'arrivée d'Inès.
Alors Énok courra la rejoindre, afin de porter les vivres qu'elle ramenait.
Énok profitait pour lui raconter sa journée et comment sa petite soeur grandissait, ce qui redonnait un peu de joie à sa mère.

Quand il arrivèrent au foyer, les enfants se ruèrent vers la mère d'Énok, et les autres parents aussi étaient heureux de la revoir.

Tous, étaient la famille d'Énok.

-Je vous aime tellement..

Murmura t-il, en sortant faire un tour à l'extérieur.
En s'approchant d'une rue assez éloigné du foyer, Énok entendit un bruit.
Cela attira sont attention, il entra dans la ruelle mais ne vit rien.
Puis quelque chose le frôla, Énok le senti mais ne vit rien, puis une seconde fois mais cette fois ci il fut bousculé et tomba.
En se relevant, il s'aperçu qu'il n'était plus dans la même ruelle, mais dans une autre à 50m de là.
Énok ne comprenait rien, puis au loin il entendit "pousses toi", et il fut encore bousculé, mais cette fois ci par quelque chose de plus puissant.
Il percuta violemment un mur et se releva aussitôt, se demandant ce qui se passait et s'il ne devenait pas fou.

-Qui.. qui est là, je vous préviens je ne le répèterai pas!

S'exprima t-il, mais il n'entendit que des cris de combat.
En effet, il y avait là un combat qui se déroulait entre des gens (sans doute des sang mêle) et des choses (sans doute des monstres).

Énok sorti son briquet et une bouteille molotov (car il en a toujours avec lui), afin de se défendre lui aussi face à ces choses qu'il ne voyait pas.

(léger détail : en réalité il ne peut pas la voir, juste la sentir et l'entendre ^^ je l'avais complètement oublié ._.)
Je tirais doucement l'homme hors des ruelles, l'éclairant en lui disant les directions. Une fois assez loin pour ne plus qu'il soit en danger, je le lâchais et croisais les bras, en m'adossant à un mur.

- A la place d'essayer de te battre, fuis la prochaine fois. Quand on ne voit pas son ennemi, il ne sert à rien de se débattre...

Je posais mon regard sur le ciel. Ça devait pas être facile pour lui de parler à quelque chose qu'il ne voyait pas...

- Tu n'aurais jamais du être au courant de ce genre de chose.

tourna les yeux en se disant; une créature mythique, ba voyant et moi je suis Zeus tout puissant.
Il se retourna, avança de deux pas et dit.

-Quand j'étais petit, notre mère nous racontait souvent ces histoires à ma soeur et moi.
Elle disait, que le monde était derrière le monde, une porte derrière une autre et que tout cohabitait en harmonie.

En disant cela, il se dit; Pure connerie...

-Moi ce que je vois c'est un société injuste ou la loi du plus fort règne.
Ces choses là, labas qui m'ont attaquée, pourquoi ne s'en prennent elles pas à ces gens là de la haute société qui nous laisse pourir ici comme des vieux chewing-gum quand jette après les avoir mâché!

Puis il rajouta..

-Et comment ce fait il que je te vois, Toi !? ...Vu que tu es sois disant une "créature mythique". Hein!

Énok entra dans la maison. les siens étaient entrain de se raconter des histoires de monstres et de héros, de dieux et de déesse.
Il se dirigea directement dans la chambre de sa famille. Sa mère se doutant de quelque chose, alla le rejoindre.
Quand elle entra a son tour, elle le vit devant le coffret qu'il avait mis sur le lit.
Puis elle lui demanda.
Tout va bien, Énok, mon chéri?
Énok regarda sa mère et lui répondit.

-Tout... tout était vrai n'est ce pas? Tes histoire sur la mythologie, et cette bague.

S'approchant de lui, sa mère répondi d'un air inquiet. Énok, chéri, je...
Énok raconta ce qui c'était passé, puis demanda à sa mère de lui parler de la bague.
Elle s'assit à coté de lui sur le lit, pris la bague et la mise dans la main d'Énok en disant.
Notre famille est descendante de ligné de brave guerrier ayant autre fois accompagné des demi-dieux dans leur quête. Cette bague, est transmise de génération en génération. Elle est magique et renferme un pouvoir mythique.
Un cadeau des dieux. Elle permet de lever la brume qui empêche de voir ce qui ne doit être vu. Mais elle attire à celui qui la porte, des monstres et des tas de problème.
Elle se leva, marcha vers la porte et dit Si je te vois franchire la porte du foyer, alors cela signifiera que tu as choisi cette voie, sache que je ne t'en voudrai pas mais ou que tu sois et quoi que tu fasses, sache qu'on t'aime, ta soeur et moi.

Énok réfléchit pendant quelques minutes puis sorti de la chambre, dans la grande pièces ou tous s'amusaient il regarda sa mère qui le regarda à son tour, Elle, sa mère, compris la décision d'Énok. Il regarda sa petite soeur et murmura

-Je vous aime tellement

Puis sortie retrouver la belle jeune fille

-J'ai pris ma décision, je porterai ce fardeau pour les miens afin qu'ils soient tous en sécurité. Je les défendrai... Tous! car ils sont ma seul famille.

Énok là regarda un moment se demandant si elle était sérieuse. Puis se dit; au point ou j'en suis, qu'est ce qui pourrait être pire?

-Je connais un endroit non loin d'ici. Un appart' qui n'est plus habité depuis quelque années.
Et je suis le seul à connaitre cet endroit.
...C'est également là que je planque mes tunes.
Mais une minute, je ne suis pas un riche propriétaire tu sais!

Il commença à marcher et s'arrêta un petit moment en disant.
Tu me suis?

En souriant gentiment.

Aux mots de la jeune demoiselle, Énok se dit. Ba voyons...
Puis ils marchaient lentement et surement en direction de l'appartement, dans cette nuit, sous le clair de lune.

(suite "Appartement d'Énok" dans Habitation.)